MON QUARTIER D'ENFANCE
MON PAPA ET MOI
Mon Papa est Moi en 1953-1954
Arcade de la Rue Bab-Azoun
derriere le Kiosque du vendeur de Tombola
Plaque de ma rue
PETIT IMMEUBLE DU 36 REAUMUR
Cette Immeuble qui m'a vue naitre
sage femme: Mme Nadal
1er FEVRIER 1946
2007
ENTREE ET LES ESCALIERS DU 36 REAUMUR
CE MUR DE DROITE N'EXISTAIT PAS
VOICI L'ENTREE DE L'IMMEUBLE
DES ANNEES 1950/1960
(Photo Montage par Nano)
Les Locataires de cette Période:
Famille: Sabatter RDC Droite
Famille: Bonnier RDC Gauche
Famille: Gardiolla 1e etg Gauche
Famille: Buresi 1er etg Droite
Famille: Bendjebel 2eme etg Gauche
Famille: Mahiout 2eme etg Droite
Les Documents de l'Epoque:
La Quittance de Loyer (Recto)
du 36 Rue Reamur Alger
Novembre 1947
Propriétaire : Mr Esposito Andrée
Mandataire: Mr Félicié Marcel
18 Rue Cardinal Verdier
Cachet du Mandataire avec Timbre
MON PAPA RUE REAUMUR
Ma Maman Mon Papa et Frère Ahmed (Alias Dédé)
Sur la Terrasse du 36 Rue Reaumur
Ahmed (Alias Dédé)
1928-1949
Mon Frère
Repose en Paix
Ceux qui l'ont connue dans le quartier
Merci de me donner des Informations
ET QUELQUES PHOTOS SOUVENIRS DES
DIFFERENTES PERIODES
1964
20 ans
30 ans
VISITE A ALGER
LA REDÉCOUVERTE DE MON ENFANCE
Mises à jour de Janvier 2010
Escaliers du Cassis,vers la Rue Reamur et Camille Douls
On monte les Escaliers du Cassis
les Barrières tiennent encore le coup
Petite ouverture à partir des Escalies
vers le N°38 et 38b Cardinal Verdier
Immeuble à Droite des escaliers
Immeuble de la Rue Reaumur
le tournant
Le tournant
A droite notre Epicier "Bouldoune"
42 Rue Cardinal Verdier Alger (cité PICARDI)
On demente l'ascenseur de la cité temime
Un pan du quartier qui disparait.
La Patisserie la Princesse (Provence)
C'etait le specialiste du Créponné
l'Arbre centenaire devant le 42 et 42bis Cardinal Verdier
Cette arbre enracine dans ses entrailles l'histoire de ce Quartier de nos souvenirs
Les 3 Horloges (Temoin du Passé)
Il resiste au temps
Cette Horloge doit être enregistré au patrimoine de notre quartier
A Droite vous trouver la patisserie de la famille Zahzouh
((Photo extrait du site de molto (l'Horphelin du Parasol))
La suite dans la rubrique:
Rue Reaumur
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ALGER UN LIEU UNE HISTOIRE
• Climat-de-France
De l'avenue de la Bouzaréah, qui traversait Bab-El-Oued, partait l'avenue du Frais-Vallon, qui, remontant le flanc droit de la vallée du Mkacel ou Oued Atoun, passait devant l'Ecole d'apprentissage de bijouterie pour les Algériens, ouverte en 1930.
Elle longeait et contournait le bas de Climat-de- France, groupe d'immeubles modernes dépendant d'El-Biar, laissait à droite le pont d'où l'on pouvait aller directement soit à Bab-El-Oued, soit à Bouzaréah par Beau-Fraisier, où s'élevait le pittoresque et verdoyant Frais- Vallon parsemé de villas et rejoignait la route des Tagarins.
• L'accès à notre Damed'Afrique
A Bab-El-Oued, la rue Pierre- Leroux, conduisant à la place Dutertre, escaladait une pente abrupte par des tournants successifs d'où l'on avait une vue imprenable sur Bab-El-Oued, Saint-Eugène et la mer. Elle rejoignait ensuite la route de Notre-Dame à Bouzaréah. De la rue de Picardie et son prolongement, le boulevard de Picardie se détachait à gauche, en haut de l'hôpital Maillot, le chemin en lacets qui passait devant Notre- Dame-d'Afrique.
• Le front de mer vers Saint- Eugène
Après le boulevard Guillemin, le front de mer continuait avec l'avenue Malakoff, doublée vers le rivage du boulevard Pitolet, au bord duquel se trouvaient un établissement de bains et des ateliers. Sur l'emplacement de l'ancienne gare désaffectée des CFRA, d'où partait autrefois le petit train qui, depuis la Pêcherie, longeant le littoral, allait jusqu'à Tipasa, la municipalité avait fait construire des HLM réservées aux familles modestes. Dépassant le boulevard de Champagne et longeant l'hôpital Maillot, le front de mer passait devant le Magasin général, la Salpêtrière et le quartier de la Consolation, à hauteur du Fort des Anglais, construit vers 1580 par un corsaire sur une pointe rocheuse.
• Les bains
Le bord de mer était aménagé en «bains». Les bains Matarès étaient gratuits et recevaient la foule dont on disait qu'elle savait nager et garder son linge, c'est-à-dire se baigner tout en surveillant ses vêtements posés sur la plage. Il fallait ouvrir l'œil, car les larcins étaient nombreux. Les bains Padovani recevaient une clientèle plus aisée. Des cabines en planches permettaient le déshabillage, mais, malgré la surveillance du gardien, des garnements se risquaient toujours à glisser un œil pour surprendre les filles en train de se changer. Un parquet surélevé, bordé du côté de la mer par une grossière balustrade, servait de piste de danse pour la jeunesse, les soirs d'été. Plus loin, les bains militaires privés d'El-Kettani accueillaient les officiers, leurs familles et leurs invités. Devant les entrées des bains, s'agglutinaient les carrioles des marchands ambulants proposant cacahuètes, frites, brochettes, merguez, citronnades, glaces...
Extrait du Quotidien "Le Soir"
13 Septembre 2008
Source Alger de ma jeunesse, J. Gandini
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