Au delà de la Rive

Au delà de la Rive

POEMES ET CITATIONS

 

 

 

 

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Les Poemes de  Sydney Boisis

Un Ami de coeur

 

"Si la rampe m'était conté"

Un clic en dessous

                                                 Poésie « Ran Vali »

 

 

 Un jour on demanda au Dalai Lama
qu'est-ce qui vous surprend le plus dans L'humanite?
Il repondit:
Les hommes qui perdent la santé pour gagné de l'argent et qui depensent cet argent pour récuperer la santé, a penser trop anxieusement au futur ils en oublient le présent a tel point qu'ils finissent par ne vivre ni au présent ni au futur ils vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir et meurent comme s'ils n'avaient jamais vecu

 

 

 

 

 

ontre est Suisse.
Ta pizza est Italienne
Ton couscous est Algérien.
Ta démocratie est Grecque.
Ton café est Brésilien.
Ta chemise  est Hawaiienne.
Ton baladeur est Coréen.
Tes vacances sont Turques,
Tunisiennes ou Marocaines.
Tes chiffres sont Arabes.
Ton écriture est Latine.
Ton Christ est Juif.
...
Et tu reproches à ton voisin d'être un étranger !?
  
 
  
  
  
  
Je veux remercier tous ceux qui m´ont envoyé des e-mails chaînes pendant
toutes ces années. Car, grâce à votre bonté:

1. J´ai arrêté de boire du Coca depuis que j´ai découvert que ça
sert à enlever les taches de tartre dans le WC.

2. Je ne vais plus au cinéma tellement j´ai peur de m´asseoir sur
une aiguille infectée par le virus du SIDA.

3. Je pue car je ne mets plus de déo qui peuvent provoquer le
cancer.

4. Je ne stationne plus la voiture dans aucun parking car j´ai peur
qu´on me donne un échantillon de parfum pour me droguer et puis me
violer.

5. Je ne réponds plus au téléphone car on peut me demander
d´appeler un numéro long et stupide et après je vais recevoir une
facture infernale avec des appels en Ouganda, Singapore ou Tokyo.

6. Je ne bois plus des boissons en canettes car je peux attraper
une maladie

7. Quand je sors en boîte, je ne regarde aucune fille(gars), même
si elle(il) est très belle (beau)car j´ai peur qu´elle(il) m´emmène
à l´hôtel et qu´elle(il) me drogue pour après m´enlever un rein
pour le revendre au marché noir.

8. J´ai versé aussi toutes mes économies sur le compte de Amy
Bruce, une pauvre petite fille qui était malade à l´hôpital plus ou
moins 7000 fois. (C´est drôle cette petite fille a toujours 8 ans
depuis 1995...)

9. Mon GSM Nokia gratuit n´est jamais arrivé, ni les entrées que
j´avais gagnées pour des vacances payées à Disneyland.

10. J´ai remis 21 fois la boum que j´organise le jour ou je reçois
ma caisse gratuite de "Veuve Clicquot" et les copains invités, me
tirent tous la gueule.

11. J´ai inscris mon prénom parmi 3000 autres sur une pétition et
j´ai sauvé une espèce menacée d´écureuil.

12. J´ai su 170 fois que Msn Hotmail allait supprimé mon compte.

13. Je connais la recette pour ne plus être célibataire. (Il suffit
d´écrire le prénom d´une personne sur un papier en pensant très
fort à elle
puis de se gratter le cul en tournant dans le sens des aiguilles
d´une montre autour d´une Renault 4L.)


  
Quand je suis né, j'étais noir.
Quand j'ai grandi, j'étais noir.
Quand j'ai peur, je suis noir.
Quand je vais au soleil, je suis noir.
Quand je suis malade, je suis noir.
Tandis que toi "homme blanc",
Quand tu es né, tu étais rose,
Quand tu as grandi, tu est devenu blanc,
Quand tu vas au soleil, tu deviens rouge,
Quand tu as froid, tu deviens bleu,
Quand tu as peur, tu deviens vert,
Quand tu es malade, tu deviens jaune,
Et après ça tu as le toupet de m'appeler "homme de couleur" ?
  
 
 
 
 
 
POEMES DE SLIMANE AZEM
 
LA NOSTALGIE INASSOUVIE

Le fils du pauvre,
eût vœu ,
de l'ultime traversée,
d'arpenter les chemins,
qui montent à la colline,
qu'il n'a jamais oubliée,
pour y semer,
le grain magique et fécond,
en le pays fertile,
de l'éternel Jughurta,
et d'y retrouver le sommeil,
du juste,
d'y restituer son sang,
à la terre qui l'enfanta,
mais hélas ! d'aucuns,
dont il n'accepta pas l'opium,
lui dressèrent les bâtons,
qui le maintinrent reclus,
Outre-Méditerranée en exil,
loin de ses aïeuls.

 

 

Le sommeil troublé

Dda Slimane, pourquoi pleures-tu ?
Je pleure de n'avoir connu,
Le repos sous un toit sécurisant,
A l'instar de Cheikh Muhend.
Dda Slimane pourquoi pleures-tu ?
Je pleure de n'avoir exaucé,
Mon rêve, en arpenter les chemins qui montent,
Pour y mélanger mon sang à ma terre
A l'instar de L'Mulud Nath Chabane (FERAOUN)
Dda Slimane pourquoi pleures-tu ?
je pleure de n'avoir été enseveli,
Dans cette colline que je n'ai pas oubliée,
Pour y dormir du sommeil du juste,
A l'instar de L'Mulud Nath Maamar (MAMMERI)
Dda Slimane pourquoi pleures-tu ?
Je pleure, de ce que les miens,
de par leur silence complice,
Ont prononcé la sentence,
De l'exil éternel qui fut mien.
Dda Slimane, pourquoi pleures-tu?
Je pleure, de ce que j'ai été,
Par les Dieux et l'injustice, émigrant
Et mon Nom, ne connaissant
Point de descendance,
A l'instar de Cheikh Muhend Ul Hucine.
Da Slimane pourquoi, pleures-tu ?
Je pleure, parce-que
La postérité m'ayant failli,
Et votre complaisance convaincante
Auront raison de ma popularité,
Et me plongeront un jour dans l'oubli ! …..

 

 

 

LES INGRATS

Aveugles, nous l'avions été,
car nous n'avons pas aperçu
l'hirondelle qu'il nous envoya,
nous les ingrats.

Sourds nous le fûmes,
car nous n'avons pas entendu,
les messages qu'il nous lança,
nous les ingrats.

Muets nous l'avions été,
parce-que nous n'avions pas prononcé,
ne serait-ce qu'un traître mot,
lorsque ses détracteurs le souillaient
nous les ingrats

Inconscients ou sans discernement,
nous le fûmes,
notre mutisme approbateur,
ayant colporté de l'eau au moulin,
de Ceux qui le condamnèrent à vivre,
en l'Hexagone Métropolitain,
un exil amer,
nous les ingrats.

 

*********

 

Slimane Azem, est un poète et chanteur Algérien né le 19 septembre 1918 à Agouni Gueghran en Grande Kabylie, mort le 28 janvier 1983 à Moissac en France

Le mendiant que l'on n'oublie pas et qui nous sourit
comme si le soleil venait de paraitre.  
 
Il ne peut y avoir de Bonheur dans la violence 
  
 
  
  
   LA MEDITATION APPORTE LA PAIX
  Plus vous apaisez le mental et les émotions,plus vous trouvez la paix.
  La méditation harmonise le corps, le mental et les émotions avec l'esprit afin qu'ils opérent de concert.
  
UN SAUT TEMPOREL
Faites un saut dans votre avenir:projeter-vous dans un an,dans cinq ans,dans dix ans.Quelles sont les personnes qui vous entourent? Où etes vous? Que faites-vous?
Maintetenant, examinez votre vie à la lumière de ce que vous venez de découvrir
 
la   trame de l'amitié sert de filet, pour e
mpecher de sombrer dans les tempetes de la vie
  
 
A l'impossible nul n'est tenu, mais rien n'est impossible entre amis
  
Pour etre heureux, il faut, aimer, mais aussi etre aimé
  
 
  
Aimer, c'est partir à deux
 vers une autre planète tout en restant sur terre
  
 
 
Il faut apprendre à se dépouiller du superflu pour vivre seulement l'essentiel
  
  
 
La Sérénité est une des expressions de la Sagesse
  
  
 
Savoir tendre la main pour donner et non
pour recevoir
  
 
 
Prendre conscience que son voisin peut etre différent de soi
Ainsi accepter aussi sa propre différence
  
 
A partir de ce jour,refuser tout sentiment de rancoeur ou de haine
Cet état nous mène à une véritable victoire sur nous-meme.
  
 
Pour retrouver la sensation de tendresse,mettre la main d'un bébé
dans la sienne.
  
 
 
 
 
 
 

 

 
POEMES ECRIT PAR MON AMIE NINI
BAPTEME
LE BAPTEME

 

Il régnait dans la maison, 

Une fiévreuse agitation. 

Ce jour-là on baptisait, 

Le petit Arabe du dernier. 

Tout au long  de la journée
Les joyeux yous yous résonnaient.

 

D'immenses bâches étaient tendues, 

Pour que les femmes ne soient pas vues ! 

Si les voisins voulaient dormir, 

Il ne leur restait qu'à partir. 

Ou bien il fallait qu'ils soient sourds, 

Car la fête durerait trois jours. 

Pourtant, jamais de réflexion, 

À chacun ses traditions. 

 

Les femmes venues des  djebels, 

Pour l'occasion se faisaient belles.

Badigeonnant leurs mains, leurs pieds, 

De l'incontournable henné. 

Elles dénouaient leurs longs cheveux, 

De noir maquillaient leurs yeux. 

Se pavanant dans leurs toilettes, 

Rutilantes de paillettes. 

Dans cette ambiance parfumée 

Certaines se mettaient à danser. 

Se balançant à petits pas, 

Sur la cadence du durboka. 

Lorsque s'amplifiaient les yous-yous, 

 
 
 
 
 
 
 
POEMES DE MON AMIE NINI
Nicole des 3 Horloges
 
 
 

LE FILS DE LA CONCIERGE

 

 

 

Mes parents tenaient une loge,

Pas très loin des trois horloges

Un appartement tout petit,

Juste à côté de Moatti.

Et j'ai fait mes premiers pas,

Sur la côte de la Boléra !

Ma mère me tenant par la main,

C'était toujours le même chemin.

Mon père y tapait l'anisette,

Au bar en face de Musette.

Avec ses copains de comptoir,

Ils recommençaient l'histoire.

Comme  il se mettait en colère,

Quand il voyait venir ma mère,

C'était moi qu'elle envoyait,

Pour lui demander de rentrer.

Mais je n'étais pas bien haut,

Et je respirais les mégots,

En me prenant sur la tête,

Les épluchures de cacahuètes.

 

 Puis les années ont passées

C'était devenu ma corvée.

Mon père riait en me voyant,

Et me disait tout content :

–– On va faire plaisir à Ginette,

On va aller chez Blanchette.

Dont le sourire me faisait peur,

Mais il avait un si grand cœur.

Alors là, mon brave papa,

Lui commandait  trois z'labia

Trois moukrout et trois beignets.

Que Blanchette enveloppait,

Dans du papier sulfurisé,

En se servant de vieux journaux

Pour faire les  paquets cadeaux.

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DRACULA
LA SPLENDEUR DU VAMPIRE
 
 
Le vampire cet être séduisant
Qui fascine,avec ses yeux rouge-sang
Dont l'haleine fétide sort de la bouche
C'est dans un cerceuil moisi qu'il se couche.
  
Cette bête née dans les temps anciens,maudits,
Le vampire vient de Berlin,de Transylvannie,
Un homme rongé par la haine
portant une longue cape noire et des gants crèmes.
  
Il se transforme en rat,en chauve-souris.
Ses canines sont pointues quand il sourit.
Il aiguise ses longues griffes acérées
En attendant se proie à mordre et à tuer.
  
Son heure de grâce est arrivée
Sa victime sous son nez
l'hypnotisant et la mordant
j'usqu'a la dernière goutte de sang.
  
Auteur: Leila Mahiout (4°4)
Ma fille
  
  
  
Au
ISur les chemins de ma mémoire.

Je revois tant de paysages
Dont je garde en moi les images
D'un ciel lourd d'orage chargé,
De sentiers non débroussaillés,
De branches aux formes effrayantes
Aux allures de viles épouvantes
Qui encore aujourd'hui me hantent.

Je voulais fuir ce paysage
Mais l'arrivée de gros orages
Ont mis un si lourd ciel sur moi
Noir de la rage que je porte en croix,
Sur le noir sable de ma plage
Où mon âme y a fait naufrage.

Tel un zombie je sorts de l'ombre
Et tel un capitaine je sombre,
Je sombre dans de noirs souvenirs.
Où mes tristes espoirs se mirent
Mes nuits sont une longue dérive,
Que je souhaite ne plus revivre,

Je veux que ma mémoire se brise ,
Là où se poseront mes valises
Et dormir toute une nuit noire
Sur les chemins de ma mémoire,

Auteur : Dorsey
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
I    

 

   

 

   
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 LA

 

 

 

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04/03/2008
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